""Ma région natale est le pays de la Loire où j’ai passé mon enfance, jusqu’à ma majorité, auprès de ma famille au Château des Loges dans la SARTHE. Je m’adonne à mes passions, la poésie de préférence néo-classique voir classique, poètes préférés : BAUDELAIRE , VERLAINE , LAMARTINE , RIMBAUD…. Mélomane , j’adore toute la musique (sauf rap). En ce qui concerne la peinture , pour moi le plus beau tableau du monde représente la nature ! J’ai auto- édité un recueil de poèmes à « collection les chemins du vents » en juin 2010. Le prochain recueil est terminé et prêt à être édité. Il sera disponible sur supports numériques. Le lien pour mon recueil c'est: L'écho des souvenirs ARLETTE EVA GENDREL VERT GALANT (auteur)"" |
Interview d'Arlette Eva sur Profil d'Artiste - ppandco.fr http://ppandco.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=122:podcast-emission-profil-d-artiste&catid=97:podcast&Itemid=792 |
L'attente du bonheur (poème) Là chantonnait l'amour, et sur sa bouche en fleur En caresse légère éclatait le bonheur, Je sus cueillir les mots et goûter le calice De ses lèvres de miel, au parfum du délice. Je ne veux plus personne auprès de mon amour, Ni même un seul nuage il cacherait le jour, Ni le deuil d'un départ assombrirait mon âme Car il est éternel, dans l'âtre où vit ma flamme. Écoutez ma chanson en joignant vos deux mains, Et comme une prière accordez nos destins, Un son épithalame en écho pour vous plaire Car le cœur de l'aimé ne pourra plus se taire. Quand tout semble perdu gardez une lueur Murmure ainsi la vie au souffle du vainqueur, La coupe du destin de roses couronnée Dévoile enfin l'extase à notre destinée. (texte protégé le 20décembre2011) |
L'Odyssée de l'Espoir J’aime à me rappeler, en voyant ces photos Les moments merveilleux d’un si beau paysage, La douceur de l’amour posé sur ton visageOu le frais d’un parfum dévoilant tes doux mots. Mais comment se fait-il ? Quand la voix de mon âme De jour comme de nuit susurrait doucement, Des paroles de miel dans un baiser ardent, En croyant simplement que je serai ta femme. Mais toi rien ne t’efface et malgré les saisons, Ô douleur! J’ai voulu, encore être troublée Savoir si je pourrais devenir ton aimée Et entendre peut-être à nouveau tes chansons. L’essaim des souvenirs, lové contre ma lèvre Résonne dans le cœur pour réveiller l’espoir, Le fil mystérieux tu ne peux pas le voir Il doit être tissé, par les doigts d’un orfèvre. Je referme l’album sur un hiver trop long, L’air heureux de mes pas n’attend pas que l’aurore, Je commande au vent frais la flamme qui dévore Et dans la volupté, la clé de l’unisson. |
"FATAL REGARD" Le regard enjôleur d'une femme amoureuse, Publié avec l'aimable autorisation de l'auteure ARLETTE-EVA GENDREL |